Mais communiquons-nous vraiment ? En famille, dans le couple tel au projet, il n’est pas forcement evident d’engager votre dialogue constructif avec nos plusieurs relations. Recommandations Afin de retablir la communication.
1. Commencer par se Realiser beaucoup comprendre
L’essentiel est de ne point oublier le proverbe « et cela se concoit bien, s’enonce clairement ». Il ne s’agit pas tant ici d’effectuer attention a sa propre diction qu’aux mots employes afin d’effectuer passer le idee, demande ou besoin. Pour la psychologue Sophie Andersen, auteure de Tout s’arrange avec des mots (HugoDoc) nous supposons a tort, surtout dans les relations de couple, que celui qui nous ecoute recoit notre message oral exactement tel que nous souhaitons lui transmettre. « Bien souvent, nous parlons sans reflechir a votre que nous disons vraiment. Au quotidien, i§a se revele beaucoup commode Afin de la plupart des echanges, mais en cas de probleme ou lors d’une relation tendue, il faut absolument peser des mots et redoubler d’attention. » i sa place, il convient aussi d’adapter notre discours suivant 3 niveaux d’attention :
Niveau 0 : Dans le contexte de discussion quotidienne, nous laissons librement notre parole s’ecouler. La communication n’a gui?re d’autre but que de coder du lien social.
Niveau 1 : Face a 1 probleme ou a J’ai necessite de prendre une decision commune, il convient de s’interroger « Qu’est-ce que j’ai envie dire exactement ? Quel reste mon souhait exact ? ». Cette reflexion va permettre d’organiser nos pensees, chose essentielle dans un echange plus complexe.
Niveau 2 : Une fois determine ce que nous voulons penser exactement, encore faut-il s’interroger dans la maniere dont nous allons faire passer le message a notre interlocuteur. Notre discours doit aussi s’adapter par rapport i ce que nous savons de lui et de sa propre facon de communiquer. Si nous nous trouvons i ci?te de quelqu’un de susceptible, pourquoi pas, si nous souhaitons que votre personne comprenne notre message il faudra veiller a ne point la vexer.
2. Ne pas oublier d’ecouter
Prendre garde a ce que l’on evoque est la toute premiere etape d’une communication reussie, mais encore faut-il savoir ecouter l’autre ! Sans ecoute adaptee, le dialogue entre deux gens se resume a votre simple monologue a 2 voix, ou chacun est sur ses positions, sans veritablement echanger. « J’ai communication se rapproche d’un exercice de danse, precise Sophie Andersen. Dans l’ecoute, nous nous laissons guider par l’autre, nous nous mettons dans ses pas, sans essayer a tout prix de remplacer le tempo ou le rythme Afin de qu’il nous convienne absolument. ». L’astuce pour nous placer en situation d’ecoute optimale est aussi de s’imaginer passager d’une voiture, tel l’explique la psychologue :
« Ecouter, c’est d’abord Realiser le choix de partager un moment avec l’autre a bord de sa « voiture de vie » avec ses histoires, ses choix et ses decisions propres. Si nous ne sommes gui?re en position de tout saisir, il faudra s’abstenir au maximum d’etre dans le jugement. Nous n’avons jamais le volant entre les mains et y n’y a rien de pire pour un conducteur que d’etre sans arret critique sur une facon de conduire. De meme, nous ne pouvons nullement freiner ou accelerer a sa place. Il faudra donc le laisser parler a son rythme, ne pas le brusquer ou de le couper, rester a sa place d’ecoutant. Tout au plus, nous pouvons lui demander de preciser sa pensee, l’inviter a parler a c?ur ouvert, cela revient a actionner les phares Afin de lui eclairer la route. Et si nous ne savons pas De quelle fai§on nous placer, il demeure forcement la roue de secours, l’ecoute completement silencieuse qui cree un cadre de parole tres rassurant. »
Pour aller plus loin
3. Accepter nos differences
J’ai communication reste un jeu a deux (au minimum) qui necessite de savoir faire des compromis et ne point oublier que l’optique d’un dialogue reste d’etre enrichissant. Cela ne s’agit donc jamais d’une bataille d’ego dont l’objectif serait de faire accepter de gre ou de force a l’autre nos envies, opinions ou souhaits. Ca est d’autant plus grand au cadre d’une dispute ou la recherche d’une concorde mutuelle s’efface beaucoup vite pour laisser place a une lutte sans merci pour definir qui possi?de raison. Pour empi?cher cet ecueil, l’humilite reste votre mari indispensable dans la communication :
« Il existe beaucoup de facon d’effectuer du « terrorisme relationnel » : exprimer sa colere sans retenue, nier l’expression de l’autre, le culpabiliser, lui refuser l’ecoute… Dans la totalite des cas, adopter votre posture revient a degrader la communication a une banale domination de l’autre, une technique que les manipulateurs aiment par-dessus tout ! Une cle Afin de empi?cher i§a, c’est d’accepter de se remettre en question, etre capable de dire « Je comprends ta position » le plus sincerement possible. L’important, meme dans un echange tendu, reste forcement d’exprimer sa position a l’autre et d’entendre la sienne. S’il est deja complexe en temps normal de parvenir a Notre concorde, quand l’enervement reste present, il convient avoir l’intelligence de faire un aucune cote Afin de calmer le jeu. »
Pour aller plus loin
4. Mettre le telephone de cote
Constamment, nous multiplions les echanges par messages ou sms. Cette nouvelle forme de communication, quasi-compulsive, reste paradoxale puisqu’elle cree a Notre fois une fatigue communicationnelle et un besoin de retrouver un vrai dialogue constructif et enrichissant au sein de le couple, aupres des enfants ou des amis. D’ou la necessite de s’amenager des espaces sans portable. A table ou en terrasse, laissez votre telephone dans votre sac. Vous avez tout a y gagner : une meilleure attention via ce qui se dit puis sur les emotions que le propos de l’autre fait naitre en vous. Sophie Andersen rappelle que, bien souvent, les messages ou mails ne semblent jamais prioritaires sur une conversation en direct :
5. Deux cas confortables
Correctement communiquer avec votre enfant : « Nous imaginons trop souvent les enfants tel des pages blanches que nous devons remplir de nos paroles, injonctions, astuces, avis. Mais un enfant a besoin de s’exprimer et d’etre vraiment ecoute, rappelle Marie Andersen. Cela ne faudrait gui?re hesiter a l’inviter a nous expliquer le plus bien ce qu’il ressent et essayer de saisir sa logique. Comme, lorsqu’un enfant ne souhaite gui?re aller a l’ecole, nous avons tendance a trouver cela normal et a essayer de reperer des parades pour minimiser ca « votre n’est jamais si terrible, l’ecole reste indispensable etc. ». Alors que prendre 5 minutes pour cerner ce qui a cree cette angoisse de l’ecole est essentiel Afin de etablir une agreable communication avec son enfant et deceler une difficulte d’integration, votre blocage scolaire, une peur jusqu’a present non identifiee… »